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Quotas, taxes, interdictions... Les mesures de 12 destinations contre le surtourisme
Venise, Dubrovnik, l’île de Pâques... Face aux nuisances et aux dégradations provoquées par la surfréquentation, certaines destinations ont pris des mesures radicales pour préserver le patrimoine et l’environnement.
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Venise, Dubrovnik, l’île de Pâques... Face aux nuisances et aux dégradations provoquées par la surfréquentation, certaines destinations ont pris des mesures radicales pour préserver le patrimoine et l’environnement.
Instaurer un quota de visiteurs, contrôler les locations de logement, créer une nouvelle taxe ou fermer complètement l’accès à un site... Là où la fréquentation touristique exaspère les habitants et menace le patrimoine et l’environnement, les autorités locales doivent forcer la vis. Certains lieux voient leur nombre de visiteurs s’envoler au-delà de leur capacité d’accueil, poussant des locaux à rejoindre des mouvements anti-touristes comme à Amsterdam, Barcelone ou Venise. Des musées sont même contraints de refuser du monde pour ne pas encombrer davantage leurs galeries. À Paris, le Louvre (musée le plus visité au monde) songe à généraliser les réservations de créneaux de visite en ligne. Des mesures radicales sont parfois nécessaires pour préserver l’intégrité d’un lieu. En 1963 déjà, la grotte originale de Lascaux (Dordogne) fermait au public, les peintures préhistoriques étant menacées par... la respiration des 1500 visiteurs quotidien
De l’Europe à l’Asie, des villes historiques aux sites naturels, voici 12 lieux touristiques qui ont mis en place des mesures contre les effets néfastes de la surfréquentation.
Océan. Son réchauffement dépasserait de 40 % les prévisions - Monde - LeTelegramme.fr
Le seuil d’alerte est bel et bien dépassé. Une étude de l’IPSO (Programme international sur l’état des océans) vient de révéler que l’accélération du réchauffement océanique dépasse de 40 % les prévisions les plus pessimistes qu’avançaient les experts il y a seulement cinq ans.
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Le GIEC (Groupement des experts intergouvernementaux sur l’évolution du climat) doit publier, en septembre, un rapport très attendu sur l’état de l’océan et de la cryosphère (espace terrestre où l’eau est présente sous forme solide). Il précédera une conférence à l’ONU, en décembre, qui se concentrera sur l’importance des océans dans la crise climatique. Car le seuil d’alerte est bel et bien dépassé.
Une étude de l’IPSO (Programme international sur l’état des océans) vient ainsi de révéler que l’accélération du réchauffement océanique dépasse de 40 % les prévisions les plus pessimistes qu’avançaient les experts il y a seulement cinq ans. Selon cette étude, si rien n’est fait durant la décennie prochaine, les changements opérés dans le fonctionnement des océans « menaceront les écosystèmes vitaux et perturberont la civilisation humaine ». Et de préciser : « Nous observons une hausse de la température, des perturbations de l’acidification, des invasions biologiques et des nutriments dans l’océan, ainsi qu’une réduction de l’oxygène ». Des processus, est-il précisé, dont les conséquences peuvent s’avérer « définitives et non réversibles ».
Au-delà de ce diagnostic accablant, l’IPSO avance donc huit priorités. À commencer par un moratoire sur l’exploitation minière en eaux profondes. Ou encore, le respect des normes en vigueur pour les aires marines protégées (AMP), la fin de la surpêche et des pratiques destructrices, la réduction drastique de la pollution des eaux marines, notamment due aux engrais azotés, aux eaux usés et aux plastiques, etc.
Ce dernier aspect a justement fait l’objet d’une mission qu’Ifremer vient de mener en Méditerranée. Ce phénomène y ayant pris des proportions particulièrement alarmantes, il s’agissait d’en préciser l’observation et de prendre des photos, grâce au Wave Gliser. Ce drone sous-marin, guidé par satellite ou par GSM, autonome en énergie, propriété de l’Institut régional de météorologie de Livourne, dispose en effet d’une caméra embarquée. Cette fois, il a donc parcouru quelque 200 kilomètres autour de Bastia et du Canal de Corse. Et va maintenant permettre un comptage des objets en mer plus précis et surtout beaucoup moins coûteux.
L'effondrement de notre civilisation industrielle ? - Partie 1 - YouTube
Après 10 mois de recherche, d’écriture et de montage, voici comme promis mon documentaire sur l’effondrement de notre civilisation industrielle. Twitter : ht...
Land is a Critical Resource, IPCC report says — IPCC
Desertification and land degradation - Food security - Land and climate change responses
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Climate Change and Land finds that the world is best placed to tackle climate change when there is an overall focus on sustainability.
“Land plays an important role in the climate system,” said Jim Skea, Co-Chair of IPCC Working Group III.
“Agriculture, forestry and other types of land use account for 23% of human greenhouse gas emissions. At the same time natural land processes absorb carbon dioxide equivalent to almost a third of carbon dioxide emissions from fossil fuels and industry,” he said.
The report shows how managing land resources sustainably can help address climate change, said Hans-Otto Pörtner, Co-Chair of IPCC Working Group II.
“Land already in use could feed the world in a changing climate and provide biomass for renewable energy, but early, far-reaching action across several areas is required” he said. “Also for the conservation and restoration of ecosystems and biodiversity.”
Desertification and land degradation
When land is degraded, it becomes less productive, restricting what can be grown and reducing the soil’s ability to absorb carbon. This exacerbates climate change, while climate change in turn exacerbates land degradation in many different ways.
“The choices we make about sustainable land management can help reduce and in some cases reverse these adverse impacts,” said Kiyoto Tanabe, Co-Chair of the Task Force on National Greenhouse Gas Inventories.
“In a future with more intensive rainfall the risk of soil erosion on croplands increases, and sustainable land management is a way to protect communities from the detrimental impacts of this soil erosion and landslides. However there are limits to what can be done, so in other cases degradation might be irreversible,” he said.
Roughly 500 million people live in areas that experience desertification. Drylands and areas that experience desertification are also more vulnerable to climate change and extreme events including drought, heatwaves, and dust storms, with an increasing global population providing further pressure.
The report sets out options to tackle land degradation, and prevent or adapt to further climate change. It also examines potential impacts from different levels of global warming.
“New knowledge shows an increase in risks from dryland water scarcity, fire damage, permafrost degradation and food system instability, even for global warming of around 1.5°C,” said Valérie Masson-Delmotte, Co-Chair of IPCC Working Group I.
“Very high risks related to permafrost degradation and food system instability are identified at 2°C of global warming,” she said.
Food security
Coordinated action to address climate change can simultaneously improve land, food security and nutrition, and help to end hunger. The report highlights that climate change is affecting all four pillars of food security: availability (yield and production), access (prices and ability to obtain food), utilization (nutrition and cooking), and stability (disruptions to availability).
“Food security will be increasingly affected by future climate change through yield declines – especially in the tropics – increased prices, reduced nutrient quality, and supply chain disruptions,” said Priyadarshi Shukla, Co-Chair of IPCC Working Group III.
“We will see different effects in different countries, but there will be more drastic impacts on low-income countries in Africa, Asia, Latin America and the Caribbean,” he said.
The report records that about one third of food produced is lost or wasted. Causes of food loss and waste differ substantially between developed and developing countries, as well as between regions. Reducing this loss and waste would reduce greenhouse gas emissions and improve food security.
“Some dietary choices require more land and water, and cause more emissions of heat-trapping gases than others,” said Debra Roberts, Co-Chair of IPCC Working Group II.
“Balanced diets featuring plant-based foods, such as coarse grains, legumes, fruits and vegetables, and animal-sourced food produced sustainably in low greenhouse gas emission systems, present major opportunities for adaptation to and limiting climate change,” she said.
The report finds that there are ways to manage risks and reduce vulnerabilities in land and the food system.
Risk management can enhance communities’ resilience to extreme events, which has an impact on food systems.. This can be the result of dietary changes or ensuring a variety of crops to prevent further land degradation and increase resilience to extreme or varying weather.
Reducing inequalities, improving incomes, and ensuring equitable access to food so that some regions (where land cannot provide adequate food) are not disadvantaged, are other ways to adapt to the negative effects of climate change. There are also methods to manage and share risks, some of which are already available, such as early warning systems.
An overall focus on sustainability coupled with early action offers the best chances to tackle climate change. This would entail low population growth and reduced inequalities, improved nutrition and lower food waste.
This could enable a more resilient food system and make more land available for bioenergy, while still protecting forests and natural ecosystems. However, without early action in these areas, more land would be required for bioenergy, leading to challenging decisions about future land-use and food security.
“Policies that support sustainable land management, ensure the supply of food for vulnerable populations, and keep carbon in the ground while reducing greenhouse gas emissions are important,” said Eduardo Calvo, Co-Chair of the Task Force on National Greenhouse Gas Inventories.
Land and climate change responses
Policies that are outside the land and energy domains, such as on transport and environment , can also make a critical difference to tackling climate change. Acting early is more cost-effective as it avoids losses.
“There are things we are already doing. We are using technologies and good practices, but they do need to be scaled up and used in other suitable places that they are not being used in now,” said Panmao Zhai, Co-Chair of IPCC Working Group I.
“There is real potential here through more sustainable land use, reducing over-consumption and waste of food, eliminating the clearing and burning of forests, preventing over-harvesting of fuelwood, and reducing greenhouse gas emissions, thus helping to address land related climate change issues,” he said.
Camp Climat 2019: face à l’inaction climatique, militants et citoyens aiguisent leur stratégie
Plus de 1000 personnes vont participer à la troisième édition du Camp Climat du 31 juillet au 11 août, à Kingersheim, en Alsace. Elles étudieront l’efficacité des nouveaux modes d’action adoptés par les militants écologistes et les citoyens face au dérèglement climatique.
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Plus de 1000 personnes vont participer à la troisième édition du Camp Climat du 31 juillet au 11 août, à Kingersheim, en Alsace. Elles étudieront l’efficacité des nouveaux modes d’action adoptés par les militants écologistes et les citoyens face au dérèglement climatique.
Les marches pour le climat ont-elles fait leur temps? Les membres des mouvements citoyens Alternatiba et ANV-COP21 prônent désormais l’organisation d’actions non violentes. Ils discuteront de ce type d’opérations à partir de mercredi 31 juillet à Kingersheim (Alsace), une commune de plus de 13.000 habitants. L’objectif de ces douze jours de formation est «d’accélérer la mobilisation face à l’urgence climatique», explique Clothilde Saunier, l’une des organisatrices du troisième Camp Climat, au Figaro. L’étudiante en sciences politiques, âgée de 21 ans, a souhaité s’engager davantage dans la lutte contre l’inaction climatique, à l’image des 1000 participants inscrits à l’événement.
La première édition n’avait rassemblé que 300 personnes en 2016 à Espère, un lieu-dit de la petite commune de Saint-Aubin (Lot). La deuxième en avait accueilli le double, en 2017, dans le village de Maury (Pyrénées-Orientales). «Le mouvement s’agrandit tous les jours, c’est pour cela qu’on avait besoin d’organiser un camp encore plus grand», précise Maureen Van Rensbergen, chargée de la communication externe et interne. À 25 ans, elle a terminé ses études dans une filière qu’elle considère comme étant «bouchée». L’occasion pour elle de mettre ses compétences à profit.